Le coût des djihadistes- le procès de Charlie Hebdo – les mots de Coco : vive Coco!

Le coût du djihad pour les Français et les Françaises ?

Le Procès de Charlie Hebdo ?

 « Combien ça coûte ? »

Ne s’agissait-il pas du titre d’une émission télévisée ?

Le sujet serait-il tabou en France comme beaucoup de sujets qui dérangent l’Establishment politico-économico-médiatique parisien qui gouverne notre pays ?

Il est donc possible d’aller faire le djihad à l’étranger ou chez nous et de voir la justice de mon pays ne pas les considérer comme des ennemis de la France, des traîtres, et de les traduire tout simplement, lorsqu’ils sont eux-mêmes ou leurs complices encore vivants, devant la justice militaire française.

Lorsque la France a mené la guerre d’Algérie, après d’autres guerres dont les enjeux étaient plus clairs, elle n’avait pas d’état d’âme, en cas de trahison, pour faire fonctionner la justice militaire.

Or, que voit-on aujourd’hui ?

Des procès qui se déroulent selon une procédure spéciale, mais qui mobilisent juges et avocats aux frais des citoyens, avec des coûts qui ne sont jamais affichés !

D’anciens djihadistes sont enfermés dans des prisons de droit commun, au lieu de les voir enfermés, soit dans des forteresses désaffectées, soit dans des îles inhabitées.

Enfin, à l’heure des réseaux sociaux et de toutes les manipulations subversives de l’opinion publique, il fallait tout simplement moderniser la procédure et donner libre accès aux caméras de télévision, pour entendre les victimes qui le souhaitaient expliquer aux citoyens et aux citoyennes ce qu’est le djihad islamiste de la terreur.

Comme je l’ai déjà écrit sur ce blog, la France est confrontée à une entreprise de subversion postcoloniale et révolutionnaire qu’elle doit affronter.

Allons-nous attendre encore des années avant de voir les pouvoirs publics se saisir des réseaux sociaux en y allumant les contre-feux nécessaires au bien commun de la République, en oubliant les guerres de religion d’il y a cinq siècles et l’histoire de la République née en 1789 ?

Ma conclusion sera celle de Coco, témoin du massacre et témoin à ce procès :

« Les coupables, ce sont les Kouachi et ceux qui ferment les yeux devant l’islamisme, ceux qui baissent le froc devant une idéologie. »

Il est temps depuis longtemps de dire ça suffit !

Jean Pierre Renaud

Islam de France ou Islam en France ? Un éclairage avec l’historien Pierre Vermeren

Islam de France ou Islam en France ?

Un éclairage du sujet avec l’historien Pierre Vermeren :

« La France, l’islam et le Maghreb : sortir des non-dits »

Le Figaro du 30 octobre 2019, page 18

            La manifestation du 10 novembre 2019 contre l’islamophobie vraie ou supposée des Français et des Françaises, – car dans une telle affaire, il ne faut jamais faire l’impasse sur le concept d’égalité entre les hommes et les femmes -, a incontestablement été un modèle du genre dans la confusion des revendications articulées par un ensemble de groupes de pression dont l’ambition est de manipuler l’opinion publique, avec en pointe de toutes ces démagogies, une sénatrice « com » de Paris.

            On finirait presque par croire qu’il n’y a pas de guerres de religion islamiques au Moyen Orient, qu’un nouveau djihad ne continue pas à prospérer, en se manifestant chez nous et en Europe par de nombreux attentats meurtriers, et que l’islam en France a enfin trouvé la bonne représentation pour trouver sa place légitime dans notre République laïque.

            Et dans ce tohubohu politique, les victimes françaises ont disparu !

            Et l’on oublierait le riche passé français en guerres de religion, dont la conclusion tardive de paix civile a été la loi sur la laïcité de la République, il y a un peu plus d’un siècle seulement, en 1905 ?

     L’article de l’historien comprend plusieurs parties « Batailles d’influence », « Mosquées : la course à la construction », « L’État tâtonne » « Le projet des Frères musulmans », « Du lobbying  à l’ingérence », « Le chaudron du Maghreb ».

      Son analyse montre toute l’ambiguïté des relations artificielles que les institutions républicaines, c’est-à-dire la France, ont voulu construire avec un islam de France dont la représentation fait encore défaut.

Une représentation au mètre carré de mosquée construite, avec pour récompense l’attribution de sièges au sein d’un Conseil français du culte musulman (CFCM), l’instance crée par Sarkozy en 2003 : pour un pays musulman riche, d’allégeance sunnite ou chiite, il s’agissait d’un investissement d’influence comme un autre, mosquée ou PSG…

         L’historien décrit avec précision les contours d’une problématique autant historique, que religieuse, et politique, en soulignant l’incompétence de nos dirigeants politiques, avec une citation que j’ai retenue :

       « Quand des conseillers et hauts fonctionnaires un peu foutraques parlaient à Jacques Chirac des affaires arabes, il savait à quoi s’en tenir. Mais quand les mêmes parlent à ses successeurs, sont-ils capables de faire la part des choses ? » 

      Jean Pierre Renaud

      J’ai publié à plusieurs reprises des analyses des livres de Pierre Vermeren : le 4/07/2016 « Le choc des décolonisations », « L’islam de France », le 15/07/2017

      J’ai proposé sur ce blog une analyse du livre de John R. Bowen « L’islam à la française » le 7 novembre 2011, enquête qui faisait ressortir un grand désordre dans le monde musulman français.

        Enfin, le 20 avril 2018, j’ai publié un texte sur la laïcité, gage de la paix civile, avec en annexe un texte de Jean d’AILLON qui décrivait dans l’un de ses livres les « beautés » des guerres de religion dans le Midi, au Moyen Age.

Une île « vierge » pour les anciens djihadistes Français !

  La polémique est à nouveau relancée, pour savoir si nous « accueillons » ou non dans notre pays, les anciens djihadistes de nationalité française du Moyen Orient.

      Dupont-Aignan propose de les accueillir dans les Iles Kerguelen : pourquoi ne pas limiter les frais en choisissant une île abandonnée près de nos côtes ou un fort désaffecté ?

      Pourquoi ne pas demander au milliardaire d’internet qui vient d’acheter une île proche de Fort Boyard d’en faire don à la France, sinon de trouver une autre île, ou un de nos forts désaffectés ?

       Il parait évident que, pour toutes sortes de raisons qui n’ont bien sûr rien à voir avec le Coran ou la laïcité, cette nouvelle pension de famille pourrait s’appeler l’ile « Vierge ».

Jean Pierre Renaud

« L’Etat de droit » ? A qui profite le crime ?

  Nous vivons décidément dans un drôle de pays ! Les belles âmes sont toujours à la défense de notre état de droit, hommes et femmes politiques, ou représentants nombreux et actifs des groupes de pression corporatistes ou idéologiques… alors que ce fameux état de droit est de plus en plus au service des criminels et non des victimes, nos concitoyens ou notre collectivité nationale.

            Le cas du défenseur actuel des droits est le symbole de cette nouvelle perversion nationale. Dans un récent passé, il ne se déplaisait pas dans la corruption du système Chirac. En qualité de Garde des Sceaux, il n’éprouva aucun état d’âme (état de droit ?) pour envoyer un hélicoptère pécher le procureur de Paris dans l’Himalaya, dans une des nombreuses affaires Tiberi qui ont défrayé la chronique judiciaire, et pour cause de non droit.

            Il n’est pas besoin d’être un ancien conseiller de la cour de Cass ou un ancien professeur de droit pour estimer que l’état de droit actuel est à revoir complètement.

            Les surveillants de prison font la grève et défendent à juste titre la création d’établissements spécialisés pour les détenus radicalisés.

            Comment accepter que des citoyens qui ont pris les armes contre la France bénéficient du « confortable » état de droit dont bénéficient les criminels « ordinaires » ? Combien coûtent ces procédures en frais d’avocats et en frais de justice ? Combien coûtent les emprisonnements de ces détenus radicalisés dont les médias se font souvent et étrangement les défenseurs ?

       Les affaires Merah et Abdeslam, combien  coûtent-t-elles  à la France ?

       Combien coûtent au pays en monnaie sonnante et trébuchante, et en agressions morales, les violences constatées dans la plupart de nos manifestations, causées par des acteurs masqués et cagoulés ?

        Quand les médias vont-ils enfin nous éclairer sur les moyens de vivre de tous ces casseurs, zadistes ou non zadistes ? Qui les paye ?

       La France continuera-t-elle à encourager ces chienlits et à encourager la violence et à vouer les victimes au sacrifice ?

      Va-t-on enfin appeler un chat un chat, c’est-à-dire traiter purement et simplement les djihadistes comme des ennemis de notre pays, sur le terrain d’une justice militaire ?

Jean Pierre Renaud

Avec France 2 et le « 20 heures » ! Information ? Information manipulée ! Propagande !

Ces jours derniers et au « 20 heures », le téléspectateur, et aussi citoyen, a eu droit à trois exercices d’information supposée, les deux premiers sur Daech, et le troisième sur les mineurs étrangers venus d’Afrique de l’Ouest.

            Un reporter de la chaine a longuement interviewé un djihadiste fait prisonnier en Syrie et incarcéré au Kurdistan : quel était l’intérêt et le but de cet exercice, sauf à y voir  la manifestation d’une propagande qui ne dit pas son nom ?

            Le même reporter a interviewé quelques jours plus tard une  femme djihadiste, également incarcérée au Kurdistan, lestée de trois enfants, dont lui ont fait cadeau trois djihadistes tués : quel est l’intérêt et le but de cet exercice, sauf à y voir la manifestation d’une propagande qui ne dit pas son nom ?

            Susciter notre apitoiement à l’égard d’une djihadiste ?

            Troisième cas de figure : des mineurs étrangers, venus on ne sait comment d’Afrique de l’Ouest, Guinée et Côte d’Ivoire…, sont chaleureusement accueillis par  une famille de la Somme.

            Il conviendrait évidemment d’en savoir plus sur le pourquoi et le comment de ces mineurs venus chez nous, sans papiers, qui ont l’honneur de faire la Une humanitaire du 20 heures.

            Le 20 heures a-t-il l’ambition de renforcer les flux de mineurs étrangers que leurs parents nous envoient si gentiment ?

            Question toute bête : les pays de l’Afrique de l’Ouest que nous aidons financièrement et militairement sont-ils invités à nous envoyer leurs enfants, alors que la République manifeste depuis de longues années son incapacité à donner un cadre républicain à trop d’enfants de nos quartiers sensibles.

            Conclusion : la France est effectivement un pays gravement malade, et il ne semble pas que le « 20 heures » d’une chaine publique, financée par les citoyens, constitue le remède approprié pour guérir cette maladie.

            Jean Pierre Renaud   –   Le 5 novembre 2017

Y-a-t-il un islam de France ?

     Petit rappel :

            Les 19/10/2012 et 5/11/2012,  j’ai proposé une lecture critique du livre intitulé « L’islam à la française Enquête » par John R.Bowen, de laquelle il résultait que la situation de l’Islam de France était on ne peut plus compliquée, compte tenu des courants qui s’y manifestaient, du rôle qu’y tenaient les réseaux sociaux, et aussi l’étranger.

            L’auteur y livrait les résultats de son enquête sur un islam foisonnant, autant déroutant qu’anarchique, qu’il s’agisse des « savants » interrogés, des mosquées « tournées vers l’extérieur », des écoles, des discours, en même temps qu’il tentait d’examiner les concordances qui pouvaient exister entre cette religion et nos institutions républicaines laïques.

        Dans le chapitre 6, l’auteur posait la question : « Une école islamique peut-elle être républicaine ? »

         Les conclusions de ma lecture étaient plutôt nuancées, et c’est le moins qu’on puisse dire.

           Je terminais en observant que mon analyse supposait à la fois qu’elle soit représentative du contenu de l’enquête et des réalités de l’islam à la française, tout en relevant que toute évolution de la problématique décrite supposait que l’islam actuel ne s’inscrive plus dans les Pensées d’un Pascal qui posait la question du djihad et dans un discours quasiment magique entre le dar es salam et le dar es harb, celui des mécréants.

           Il se trouve que de nos jours, Daech prône une extrême violence contre tous les mécréants qui ne respectent pas sa lecture du Coran.

            Beaucoup feignent d’ignorer, sauf dans certaines agglomérations, que nombre de français et de françaises n’avait pas conscience de l’importance de l’islam dans notre pays, en corrélation avec les immigrations des trente dernières années, une montée qu’ils ont découverte progressivement à travers ce qu’il faut peut-être appeler le prosélytisme d’une partie de ces communautés à l’école ou dans la rue, avec la multiplication de signes extérieurs de cette nouvelle religion.

         Les menaces de Daech, les attentats, la barbarie de cette forme d’islam radical, ont précipité la prise de conscience de la communauté nationale, alors que notre « establishment » politico- culturel parisien feint de découvrir cette irruption du religieux dans une société qui, grâce à la loi de 1905 sur la laïcité, avait réussi à ne pas mélanger le civil et le religieux.

         Pourquoi ce faire-semblant de la découverte d’un phénomène dont la plupart des formes était connue depuis longtemps, notamment par la plupart des membres de cet « establishment » ?

         Comment ne pas mieux faire le point de la question dans notre pays qu’en reproduisant in extenso une interview fort intéressante parue dans le journal Ouest-France du 5 août 2016, page 4, intitulée

            «  L’Etat a sous-traité la question de l’islam»

               Professeur au CHU d’Angers, ancien conseiller municipal, le cosignataire d’une tribune Abdel-Rahmène Azzouzi estime qu’il existe un lien entre l’absence d’un islam de France et les attentats :

         Pourquoi vous avez cosigné une tribune avec quarante autres personnalités françaises musulmanes dans le Journal du dimanche ?

      Nous avons été des témoins privilégiés de cette descente aux enfers. Depuis trente ans, le musulman que je suis et qui dérange essaie d’éviter la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui. Trente ans que l’on prêche dans le désert.

      Vous mettez en cause l’organisation actuelle de l’islam en France ?

      La question du culte musulman par l’Etat français est depuis quarante ans, un fiasco total. Il a placé la communauté musulmane dans une sorte d’Etat d’exception. La laïcité ne nous est pas appliquée. Je vais faire de la provocation : puisque celle-ci ne nous concerne pas, pourquoi le musulman ne ferait pas sa prière dans la rue, à l’hôpital, ne mettrait pas de niqab, n’exigerait pas du hallal à la cantine ?

       En quoi l’Etat français est-il responsable ?

       Il a sous-traité la question de l’islam, accepté l’ingérence des Marocains et des Algériens dans le culte français. Il a soumis les musulmans à leur pays d’origine. Dans une ambiance postcoloniale, ce système pouvait avoir du sens : les gens n’étaient pas venus pour rester. Seulement, aujourd’hui 75% des musulmans de France sont nés en France. et c’est là que l’Etat porte une responsabilité majeure ; il a rejeté l’idée d’un  islam de France et voulu des musulmans dociles. Il a aujourd’hui Daech. Avec leurs imposteurs, qui n’ont rien de musulmans.

      Que faire ?

       Plus une seule âme étrangère dans le culte musulman : tolérance zéro chez les dirigeants et les imams. Arrêtons aussi ce discours hostile, qui s’est installé de manière insidieuse, à l’égard de l’islam de France. Les musulmans ne sont pas les paillassons de la République.

        Quelle solution pour éviter que les mosquées ne soient financées par des fonds étrangers ? Je ne demande pas que l’Etat finance les cultes, il ne le faut pas. Mais à situation exceptionnelle, réponse exceptionnelle. Il suffirait de mettre en place une commission ad hoc avec des experts pour contrôler les projets, leur taille, leur coût. Et gérer un fonds créé dans ce but. Un peu comme une banque. Après, aux Francais musulmans de rembourser jusqu’au dernier centime.

Recueilli par Nathalie Hamon

http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/angers-pr-azzouzi-letat-sous-traite-la-question-de-lislam-4402737

          Dont acte ! Une solution de redressement est proposée.

         Je ne suis pas du tout sûr, mais pas du tout, que la désignation à la tête d’une Fondation, d’un cacique politique de cet « establishment » qui se veut « innocent », alors qu’il a gouverné la France tout au long des trente et quarante dernières années, soit la meilleure des solutions.

        Sortons des sentiers battus !

        Jean Pierre Renaud

« Comment peut-on être Français » dans la nouvelle « multinationale » France ?

« Comment peut-on être Français » dans la nouvelle  « multinationale » France ?

Nationalité, Bi-nationalité, Déchéance de la Nationalité Française : la France des faux-culs !

Etat d’urgence, djihad, libertés, sécurité, disputes constitutionnelles, juridiques,  politiques, toutes incompréhensibles pour le commun des mortels…

        Comment est-il possible de demander au Parlement de la République française de résoudre un problème, de lui apporter une solution, sans lui communiquer les données de ce problème, c’est-à-dire les statistiques officielles de la bi-nationalité dans notre pays ?

         Oui, mais ces chiffres sont tabous, et relèvent quasiment du  « secret défense » !

        M. Patrick Simon, socio-démographe à l’INED vient de déclarer dans le journal Le Monde :

        « Mais il n’existe ni fichier ni recensement des Français à double nationalité ».

           Au cours des dernières années, et sauf erreur, M. Goasguen a présidé une commission parlementaire sur le sujet, mais son rapport est resté top secret.

          Je persiste à penser que sur ces sujets d’intérêt national les gouvernements et leurs majorités, qu’ils soient de droite ou de gauche, prennent les Français pour des cons.

         La nouvelle « multinationale » France ne mériterait-elle pas encore plus d’attention, quant à la composition  de son capital, à son fonctionnement,  et à son contrôle, que les grandes multinationales capitalistiques du monde qui font la pluie et le beau temps dans le monde d’aujourd’hui ?

Jean Pierre Renaud

PARIS, les attentats du vendredi noir, 13 novembre 2015

 Avant et après le 13 novembre : en France, rien ne sera plus comme avant, après ces attentats.

          Un pas a été franchi, car il ne s’agit plus de la punition que des islamistes extrémistes ont dit vouloir infliger à un journal, accusé d’avoir blasphémé Mahomet, mais d’une agression terroriste contre notre peuple.

            Que notre vieille France se réveille enfin, se tienne à nouveau debout.

            La France, « puissance » trop solitaire ! 

              Cessons de faire cavalier seul dans nos interventions militaires extérieures, comme si nous avions la puissance nécessaire pour faire œuvre de justicier international !

          Comme si la France vivait encore dans un monde disparu depuis longtemps ! Nous ne sommes plus à l’époque de Jules Ferry ! Après la Libye, le Mali, puis la Centre-Afrique, l’Irak, la Syrie …

            Un esprit de « grandeur » fanée qui flatte encore beaucoup trop l’égo de nos dirigeants politiques.

          Comment ne pas regretter, tout autant, que le gouvernement se soit lancé dans de nouvelles guerres (2013)  sans prendre en même temps toutes précautions de défense intérieure, ce qu’il a fait avec trop de retard ?

        Une justice anti-terroriste efficace, adaptée à la situation de guerre actuelle, ce qui veut dire :
         Pour les radicalisés :

         les Français identifiés comme des citoyens radicalisés seront soumis à un contrôle judiciaire avec bracelet électronique.

            Pour les djihadistes :

             les Français djihadistes seront justiciables de la justice militaire, afin d’éviter qu’ils ne puissent se recommander d’une justice respectueuse de droits de l’homme qu’ils veulent détruire.

              Il appartient  au Conseil de Sécurité de l’ONU,

         à la demande des pays arabes musulmans du Moyen Orient, d’autoriser la constitution d’un corps expéditionnaire capable d’aller porter le fer contre Daech, sur le terrain, car Daech n’a rien à voir avec l’Islam.

          Pourquoi ne pas penser que de nombreux pays auront l’honneur et le courage de joindre leurs forces à cette nouvelle lutte internationale contre cette nouvelle barbarie, comme ils l’ont fait contre les nazis ?

        Turquie, Arabie Saoudite, Iran, Egypte, Etats Unis, Russie, Allemagne, Royaume Uni, France, … tous au même combat !

           Une Com’ politique tout à fait déplacée, et pourquoi ne pas le dire, stupide !

          Chaque jour, ou presque, nos éminences politiques nous bassinent les oreilles avec les « hauts faits de guerre » de nos armées : un ou deux Rafale, un ou deux Mirage, par ci par là, avec un raffinement de communication sur les cibles visées ou atteintes,  etc…

        Est – il est vraiment nécessaire de faire ce genre de com’ de guerre, pour exister politiquement ? En dehors de toute stratégie intelligente de ce type de guerre ?

         Nombreux sont les Français qui pensent le contraire !

        Jean Pierre Renaud et Marie Christine Renaud

Humeur Tique: La bonne question! Pour les médias, fait divers ou fait marquant de barbarie, à Kampala et à Alep?

           Ces jours derniers dans quelques médias, deux informations présentées à la manière des faits divers :

            1 –  L’Ouganda veut instaurer la peine de mort pour les homosexuels.

            L’Ouganda, cet Etat homophobe par excellence, dans toutes ses pores et dans tous ses actes qui ne manifeste aucun respect pour l’être humain !                    

            La France ne devrait-elle pas retirer son ambassadeur de cet état homophobe, une décision qui aurait sans doute plus d’écho que la loi Taubira.

            2 – Alep et les rebelles anti Bachar el Assad : des djihadistes viennent d’assassiner un garçon de quatorze ans, sous prétexte de blasphème du Coran. 

                      Quelle différence entre ces rebelles et les suppôts d’Assad ?