France-Albanie, le Foot, le Couac des hymnes nationaux du 7 septembre 2019 ?

En « Live » comme Monsieur Delahousse !

M6 a bien  des excuses, étant donné qu’il était difficile, un de savoir où était l’Albanie, deux s’il s’agissait d’une équipe nationale ou d’une équipe de réfugiés !

De janvier à avril 2019, demandes de protection déposées :

 3 068 = soit plus de 32,2 % par rapport à la même période en 2018 !

Source Ofpra

Neymar à la Tour Eiffel, avec le PSG et le Qatar !

 Il y a quelque temps, j’ai condamné le fol engouement qui avait saisi notre  bel establishment, y compris politique, à propos de l’« acquisition » par le PSG d’un footballeur à 220 millions d’euros.

        Mme Hidalgo avait fait en sorte que la photo en couleurs du joueur apparaisse sur la Tour Eiffel illuminée.

        Quelques jours plus tard, le 10 août 2017, j’ai adressé un message à Mme Hidalgo, en lui demandant si elle avait la même intention de le faire pour notre champion du monde du 800 mètres, M.Bosse.

         Mon message est resté sans réponse.

       Curieuse conception du mélange des genres entre Mairie de Paris, PSG, et Qatar !

        Mme Hidalgo mérite en tout cas de se voir accorder la nationalité Qatarie !

        Jean Pierre Renaud

Neymar au PSG ! Le fric, toujours le fric ! Les trois perversions !

Neymar au PSG ! Le fric, toujours le fric !

La perversion avec une Tour Eiffel illuminée en prime !

Une triple perversion, car sans être obligatoirement bégueule, il s’agit bien de cela !

Perversion du sport, et du foot, avec la démolition programmée de notre foot national ! Quel exemple à donner aux jeunes de notre pays !

Perversion d’une partie de notre élite politico-économico-médiatique sacrifiant au fric les valeurs de notre République !

Perversion de la même partie de notre élite politique qui fait à un Etat théocratique le cadeau de l’image de Paris, capitale des libertés, de l’égalité, et de la fraternité, et de notre histoire de France !

Depuis les débuts de cette aventure perverse, je n’ai pas changé d’avis, comme je l’ai déjà noté à plusieurs reprises sur ce blog.

Jean Pierre Renaud

EURO 2016! Foot ou foot-aise anthropologique?

Euro 2016 ! Foot ou foot-aise anthropologique ?
&
« Cessons de prendre ces joueurs pour des « subalternes » 
Le titre d’une longue tribune parue dans le journal Le Monde des 5 et 6 juin, page 28
S’agit-il d’un parcours initiatique de la science anthropologique que Monsieur Amselle propose à de jeunes chercheurs en sciences sociales ?

            Pour s’en assurer, il convient donc de se reporter à ce texte crayon en mains, et d’emprunter le chemin du raisonnement proposé, celui d’une démonstration « scientifique » destinée à donner la signification ethnologique, anthropologique, ou politico-idéologique de l’algarade récente Benzema-Deschamps, en précisant que son sujet est le football, l’Euro 2016, la composition de l’équipe de France.

            Première remarque relative au titre : est-ce que l’auteur de ce texte ne joue pas avec le qualificatif d’une école historique postcoloniale qui eut son heure de gloire aux Indes, en brandissant le mot savant de « subalternes », une appellation «  réservée »,  à quel public?

            Pour comprendre le sens du mot, je propose aux lecteurs de consulter la chronique que j’ai consacrée au livre « Leçons indiennes » de Sanjay Subrahmanyam, de lire tout simplement sa leçon 13, et de prendre connaissance de sa définition du qualificatif choisi de « subaltern » à la page 95.

            Deuxième remarque : à lire le sous-titre ci-après, l’auteur fonde son raisonnement sur le postulat gratuit d’un état supposé de l’opinion, étant donné qu’il ne cite aucun sondage ou enquête accréditant son discours, ce qui ne l’empêche pas d’écrire :

          « Même s’ils sont millionnaires et starisés ; les footballeurs d’origine immigrée continuent de faire l’objet d’un « traitement de « défaveur » par l’opinion »

Pour seule preuve donc ce type d’assertion « scientifique » ?

            Troisième remarque : l’auteur esquisse ensuite une pirouette intellectuelle du type, en écrivant : « Il ne saurait être question pour un chercheur en sciences sociales de prendre parti », tout en prenant parti tout au long de son discours.

            Quatrième remarque ; l’auteur donne son interprétation de cette « polémique » sur l’affaire Benzema, en adossant son raisonnement tout à la fois au savant que fut Marcel Mauss et au passé colonial de la France :

           « – c’est qu’elle est une sorte de mille-feuilles ou de « phénomène social total » », selon l’expression de Marcel Mauss, mettant en branle toutes les strates sociales, raciales, et idéologiques de la société française. Elle renvoie celle-ci à un passé colonial que les uns et les autres se refusent à oublier pour aller de l‘avant, et qui pèse de tout son poids chaque fois que surgit un scandale opposant un ressortissant ou un descendant originaire d’une ancienne colonie française à un Français citoyen de la métropole de l’ex-empire colonial »

           Seule difficulté et de taille, l’auteur semble faire partie, peut-être à son corps défendant, de cette cohorte de chercheurs au tempérament auto-flagellant ou victimaire, qui invoque à tout propos une mémoire coloniale ou postcoloniale qu’ils n’ont jamais eu le courage de mesurer, et qu’il ne suffit pas d’habiller son discours de la référence savante à Marcel Mauss pour convaincre le lecteur.

               De Marcel Mauss à Benzema, quel raccourci anthropologique vertigineux !

             Il s’agirait donc de « la postcolonialité dans l’univers du football », du rôle des médias dans cette diffusion, le tout, à l’avenant avec l’évocation à nouveau des joueurs « subalternes », à ne pas confondre avec les « indigènes de la République », etc, etc…

            L’auteur conclut de façon péremptoire :

          « Le piège identitaire des racismes réciproques s’est ainsi refermé sur l’Euro 2016. A travers l’affaire Benzema, la France montre qu’elle est l’objet d’une fracture raciale, fracture qui révèle l’existence d’un passé colonial en attente de liquidation. Quelles qu’en soient les raisons qui peuvent être invoquées à l’appui de la sélection ou du rejet de tel ou tel joueur, c’est ce paradigme postcolonial qui fait désormais office d’étalon des valeurs d’une société revendiquant pourtant, de façon paradoxale, la République comme seul et unique principe d’organisation. »

             Que de grands mots pour soutenir un discours sans preuve, un discours qui, sous prétexte de ne pas fracturer notre société contribue innocemment à le faire avec ce type de raisonnement idéologique.

            Rappelons que l’auteur prône la non-discrimination, mais refuse tout recensement ethnique, seul moyen statistique approprié afin de savoir s’il y a discrimination, effectivement discrimination, compte tenu des grandeurs démographiques en jeu, en même temps que de savoir qui est qui, ou qui est quoi dans notre pays ! (Voir sa thèse dans le petit livre « Au cœur de l’ethnie »)

         « Piège identitaire » ?  « Paradigme postcolonial » ? Diable! dans quel univers sommes-nous ?

            Ne pourrait-on pas rétorquer à ce type de discours politique qu’il est particulièrement difficile pour un ethnologue et anthropologue de vouloir tout à la fois se mettre à la place du sujet observé et ausculté, tout en conservant la distance scientifique nécessaire, d’échapper en quelque sorte à cette nouvelle maladie d’ethnocentrisme inversé, mâtiné d’autoflagellation nationale ?

         Foot ou foot-aise anthropologique ?

          Les lecteurs les plus curieux pourront se reporter au petit texte que j’ai publié sur ce blog intitulé « Un anthropologue chez les Dowayos »

    Jean Pierre Renaud

Chronique de la France d’en bas N°5 « Le foot du fric ou le foot du sport ?

Chronique de la France d’en bas

N°5

Le foot du fric ou le foot du sport ?

 « Les sportifs doivent-ils être exemplaires ? »
Le journal Aujourd’hui en France du 28 mars 2016, page 17
A propos de la sex-tape Benzema-Valbuena !

         Deux « experts » ont été consultés, Roselyne Bachelot, ancienne ministre des sports (2007-2010) et Pascal Boniface, géo politologue, directeur de l’IRIS, nouveau juge de l’éthique du foot.

         Le titre des deux réponses résumait leur position sur ce sujet sensible :

        « Ils ont un rôle de citoyen à assumer », pour Mme Bachelot

       «  On ne peut pas leur demander plus qu’aux autres », pour M.Boniface.

         La réponse de M.Boniface est tout à fait inacceptable, d’autant plus qu’il fait partie depuis 2013, du Conseil national de l’éthique de la Fédération française de football.

      A lire certains propos du Président Thiriez, l’institution en question  parait en effet défendre plus le foot du fric que le foot du sport. (voir blog du 16/03/16)

        Aux yeux du politologue Boniface et nouveau juge de l’éthique du sport au sein de la même institution, il serait possible et acceptable, sur le plan éthique, d’être embarqué dans une affaire civile et judiciaire douteuse, et de représenter la France dans notre équipe nationale de football ?

     Une fois de plus, il y a décidément quelque chose de pourri dans le royaume de France.

      Certains ajouteraient que le mal n’est pas si grave que cela, à voir ou à découvrir que, dans certaines équipes de France, chargées de défendre les couleurs nationales, sur le plan international, des sportifs détiennent deux nationalités, et optent donc pour telle ou telle nationalité, selon la loi du plus offrant sur le marché.

Jean Pierre Renaud

Les Médias et le PSG: où va le foot français ?

  La Gauche et la Droite parisiennes ont confié les clés du PSG à une puissance étrangère, avec pour résultat l’influence qu’elle est susceptible d’exercer sur la vie nationale, en jouant avec l’image de la capitale, Paris, siège des institutions de  la République Française.

            C’est évidemment le cas avec la domination écrasante dont le PSG a fait preuve au championnat de France de la Ligue 1 d’un football encore français, dans les apparences tout au moins.

            A l’occasion de son écrasant succès contre Troyes, 9 à 0, les journaux ont souvent rivalisé dans l’enflure pour saluer ce brillant succès d’une équipe qui dispose d’un budget de l’ordre du demi-milliard d’euros, alors que ses concurrents ont de la peine à aligner quelques millions d’euros.

        Le 14 mars dernier, le journal Le Parisien a battu tous les records des superlatifs, une demi-page en première page, avec plusieurs pages d’affilée, avec un commentaire qui vous laissait pantois d’émotion :

          « En décrochant le titre de champion de France à l’issue de la 30ème journée de la compétition (contre Troyes 9-0) le PSG devient le club couronné le plus tôt dans l’histoire du foot français »

           Question : s’agit-il encore « du foot français » ?

          Le journal Le Figaro du 15 mars publiait en page 12, un article intitulé :

          « Le PSG réécrit l’histoire du foot français »

          Question : s’agit-il encore du « foot français » ?

           Le 14 mars dernier, le journal La Croix publiait en page 23, un article intitulé :

         « Le Paris SG, champion de la précocité »

          Question: qu’est-ce à dire ? Un titre gentil comme tout !

          Le 15 mars, le journal Le Monde, quittant pour une fois les traverses de ses deux détectives infatigables, D et D, publiait en page 13, un article avec un titre choc, qui dit toute la vérité sur cette dérive du foot, dit français :

        « Le PSG, fossoyeur de la Ligue 1 »

              Et naturellement, le Président  de la Ligue de football professionnel, champion de toutes les combinaisons sportives, dit tout le bien qu’il pense du PSG :

             « Le football français doit être reconnaissant au PSG pour ce qu’il lui apporte à l’indice UEFA »

         J’ai souligné les trois mots intéressants.

         La France a décidément bien changé depuis les temps passés qui virent le même Président faire ses premières armes au Cabinet du ministre socialiste très grand teint que fut Gaston Defferre.

Jean Pierre Renaud

Humeur du jour – Les médaillés du jour : Dans le désordre, Platini, Pujadas, Hidalgo !

 Platini, à « l’insu de mon plein gré » ?

           Tout de même avec quelques espèces sonnantes et trébuchantes à la clé ?

            Avec des enjeux planétaires, la responsabilité de l’éthique du foot mondial en lieu et place de celle du Tour de France ?

            Pujadas, l’homme politique de l’année !

         Le dernier épisode de l’émission « Des paroles et des actes » a mal tourné, mais est-ce qu’il ne s’agit pas de l’échec du tout politique médiatique ?

            Des gens des médias qui veulent faire la politique de la France ?

         Hidalgo, à l’assaut du statut de Paris ! Un socialisme qui déraille !

         Avec le projet de vente du Parc des Princes à un Etat étranger théocratique, le Qatar ?

            Avec cette initiative tout à fait étrange de location des Catacombes à une société américaine, « Airbnb » dont la vocation est la location saisonnière privée, une initiative qui déstabilise tout le système du logement parisien et de l’hôtellerie, et qui alimente la fraude fiscale.

            Y-a-t-il encore un pilote dans l’avion de la Mairie de Paris ?

            Ses ambitions de réforme du statut de Paris n’ont-elles pas de quoi inquiéter ?

Humeur Tique: La France du foot au Brésil: que de bonnes nouvelles avec en plus « L’Algérie, c’est la France! « 

 « L’Algérie, c’est la France ! »  ou  « la France, c’est l’Algérie ! » : Enfin !

               Le journal la Croix a titré sa chronique du 24 juin :

            « L’Algérie, la deuxième équipe de France »

              –  Grâce à son succès historique contre la Corée du Sud, la sélection algérienne    peut rêver d’une qualification en 8° de finale

              –    Les « Fennecs » comptent sur leurs très nombreux joueurs (16 sur 23) nés en France. »

             Comment voulez-vous que les citoyens français s’y retrouvent dans ce nouveau pastis des double-nationalités ? Dans un match de foot, pourquoi pas? Mais s’il s’agissait d’un autre match ?

            Soixante années plus tard après l’indépendance de l’Algérie !

Taubira entre « francité » et « ethnicisation » de la France ?

Taubira entre « francité » et « ethnicisation » de la France ?

            Dans le journal Le Monde du 15 mai 2014, M.Jean-Loup Amselle, anthropologue, a publié une tribune intitulée :

« Christiane Taubira face à la droite et l’extrême droite

Honteux procès en francité »

      Le premier paragraphe du texte situe les faits :

            «  Les reproches faits récemment par la droite et l’extrême droite à Christiane Taubira, garde des sceaux, de ne pas avoir chanté La Marseillaise lors de la commémoration de l’abolition de l’esclavage le 10 mai, renvoient à un vieux débat sur le récit national. 

            A la lumière de cette controverse, il apparait que ce qui est reproché à notre garde des sceaux, c’est à la fois d’avoir fracturé le récit national en ayant œuvré en faveur de l’édiction d’une loi mémorielle sur l’esclavage, et donc d’avoir mis en exergue l’existence d’un sous-groupe de descendants d’esclaves au sein de la République française. Celle-ci conçue comme une et indivisible, n’admet en son sein que des citoyens vus comme des individus identiques. La ministre a en outre aggravé son cas en omettant d’entonner l’hymne national, en assimilant cette pratique à du « karaoké d’estrade » et en avouant qu’elle n’en connaissait pas toutes les paroles. »

             M.Amselle a raison de protester contre la campagne politique souvent haineuse qui est faite à l’encontre Mme Taubira, même s’il est possible de s’interroger sur la pertinence de la démonstration intellectuelle que propose l’auteur.

             L’anthropologue ne mettrait-il pas trop d’emphase, sinon d’exagération, dans la critique qu’il propose sur le sujet de la « francité », en y  voyant tout à la fois, une « suspicion de nationalité », un renvoi « à une citoyenneté à deux vitesses », une République française qui « perd son attribut d’universalité », etc…

          Il est possible en effet de se poser la question de savoir si le vocable « francité » ne couvre pas une nouvelle ethnie postcoloniale, pure invention de la nouvelle ethnologie postcoloniale : une sorte de juste retour des choses.

        Est-ce que le véritable débat ne devrait pas plutôt porter sur son propos relatif au « karaoké d’estrade » ?

       L’auteur met sur le même plan la garde des sceaux et les footballeurs de l’équipe de France, une ministre de la république française et des footballeurs.

        Une telle « assimilation », cette fausse égalité que l’auteur leur confère, reviendrait à dire  qu’un ministre de la République française investi de responsabilités publiques nationales a le droit de se moquer d’un des grands symboles de la République, une « infraction » politique d’autant plus grave de la part d’une garde des sceaux.

      Quant à la défense anthropologique de l’auteur, je suis sûr que les deux équipes qui viennent de disputer la finale de la Coupe de France au Stade de France,  Rennes et  Guingamp ont été de nature à rassurer l’auteur : issues toutes les deux d’une très ancienne colonie du royaume de France, elles semblent avoir bien accueilli la présence et le concours de footballeurs issus de l’outre-mer qui les a aidé à disputer le titre, et pour la plus petite à l’emporter.

      Je renvoie le lecteur au petit mot que m’adressa en 2003, avant sa mort, un ami, issu d’une « ethnie »  bretonne, ancien ingénieur général de l’armement, artisan de la mise au point des premières fusées nucléaires de nos sous-marins, au dos d’une carte postale de vacances à Crozon, en écrivant :

      « Cette carte est destinée à illustrer votre prochain ouvrage sur les colonies, à la rubrique « Bretagne ». La France lui a imposé sa langue, mis en place des gouverneurs étrangers et traité sa population comme si elle appartenait aux races inférieures. »

      Jean Pierre Renaud

Honte au Conseil de Paris! Les oriflammes bleu-blanc-rouge du club « Qatar Saint Germain » sur les Champs-Elysées!

Honte au Conseil de Paris !

Honte au Conseil de Paris d’avoir offert nos Champs Elysées, au QSG, c’est-à-dire au Qatar  Saint Germain (ex-PSG) !

Une avenue bariolée des oriflammes bleu-blanc-rouge avec notre Tour Eiffel d’un club et d’un pays qui ne disent pas leur nom !

            La France est décidément un drôle de pays, et la Mairie de Paris une drôle de mairie.

        Avec le soutien quasi-unanime des élus, l’ancien Maire de Paris, avec le plein accord de la Maire actuelle, a confié au Qatar les rênes du club de foot « Paris Saint Germain », avec l’atout capital de pouvoir « vendre »  l’image de Paris, encore capitale de la France.

        Résultat : le club vient de remporter une finale de football et la Ville de Paris de s’enorgueillir de ce succès, au point de faire flotter des oriflammes aux couleurs de ce club  de chaque côté des Champs Elysées, comme à l’occasion de la visite d’un Chef d’Etat étranger, ou tout simplement du 14 juillet !

         A qui appartiennent aujourd’hui les Champs Elysées ? Au Qatar ou aux citoyens de France ?

        Un coup de pub indirecte superbe, étant donné que le nom du PSG ne figure pas sur ces drapeaux, mais avec la question : la Ville de Paris, notre grande et vieille  capitale devait-elle sacrifier sa grande histoire à l’argent, celui d’un Etat théocratique qui n’a rien, vraiment rien de commun avec la République Française, sauf avec une partie de notre élite convertie à la com et au tout pour le fric !

         Si vous avez les yeux ouverts, fusse en lisant Le Monde, publicité gratuite :

         – Le Monde du 16 mai 2014, page 3, en sous-titre d’un article sur le Qatar : « Le sort réservé par Doha aux ouvriers asiatiques confine au travail forcé »

           – Le Monde des 18 et 19 mai 2014 ; page 9 « Fair-play financier : le PSG fortement sanctionné :

        « … L’UFEA a infligé au club du Paris Saint-Germain une amende de 60 million d’euros, dont 20 ferme pour ses entorses au fair-play financier. »

Jean Pierre Renaud